L’éclat d’une passion partagée avec BVLGARI

Artiste passionnée et membre de la famille Bvlgari Suisse, Lara Wolf puise son inspiration à la croisée de l’art et de la joaillerie.

Quelles valeurs partagez-vous avec la Maison Bvlgari?

«Avec ma double culture, notamment perse, je viens d’un univers imprégné d’histoire, d’art et de beauté intemporelle, des qualités que je retrouve aussi à Rome, berceau de Bvlgari. En tant qu’actrice, je suis animée par le pouvoir du récit et de l’empathie. Les créations de Bvlgari racontent des histoires, suscitent des émotions et installent une atmosphère singulière. J’aime la part de rêve, l’élégance et l’audace assumée qui caractérisent les pièces de la Maison. Ce sont des valeurs auxquelles j’aspire, tant sur le plan personnel que professionnel, et qui expliquent le lien profond que je ressens avec Bvlgari. »

En tant que membre de la famille Bvlgari pour la Suisse, que représente cette expérience pour vous, sur le plan personnel et professionnel?
«Être membre de la famille Bvlgari est pour moi un immense honneur, tant sur le plan personnel que professionnel. C’est une expérience très gratifiante de me retrouver parmi un groupe si talentueux, composé de personnes aux compétences diverses, d’artistes et d’athlètes qui, comme moi, travaillent sans relâche pour perfectionner leur art avec un engagement envers l’excellence, la créativité et l’authenticité. Faire partie de la famille Bvlgari et être reconnue de cette manière représente non seulement mes réalisations, mais aussi les innombrables heures investies, dont beaucoup restent invisibles aux yeux du public. Au final, cette famille artistique m’encourage et m’inspire à aller plus loin, à viser plus haut et à chercher continuellement des moyens de progresser. Je suis profondément reconnaissante envers la communauté Bvlgari pour cette reconnaissance et pour m’offrir une plateforme où briller.»

Y a-t-il une pièce ou une collection Bvlgari qui a une signification particulière pour vous, et pourquoi?
«Une pièce Bvlgari qui m’a toujours fascinée est le célèbre collier émeraude offert par Richard Burton à Elizabeth Taylor. Inutile de préciser qu’il est absolument envoûtant : c’est l’une de ces créations qui racontent mille histoires et suscitent un monde entier d’émotions. Sur un plan plus personnel, je choisirais ma montre Bvlgari Serpenti. Plus je la porte, plus elle devient partie intégrante de mon identité, comme si elle était une extension de moi-même. J’ai également toujours été fascinée par le motif du serpent : enraciné dans l’histoire ancienne, symbolisé dans la mythologie et considéré par Jung comme un archétype puissant.»

Quelle a été votre expérience la plus mémorable en tant que membre de la famille Bvlgari jusqu’à présent?

«Il y en a eu tant, mais l’une de mes expériences les plus marquantes a été d’assister à la cérémonie des BAFTA avec Bvlgari. J’ai été accueillie à l’hôtel Bvlgari à Londres, et la cérémonie des nominations s’est tenue à la National Gallery. Cet événement a réuni mon amour pour la marque et mon amour pour le cinéma. Un autre moment mémorable a été notre rassemblement de fin d’année à Zurich. C’était merveilleux de constater à quel point notre famille était soudée, et l’on m’a même demandé de chanter une chanson au cours de la soirée avec notre harpiste, Alexander Boldachev.»

Y a-t-il un aspect particulier de l’artisanat ou d’une technique chez Bvlgari qui vous fascine tout particulièrement?
«Oui, la technique du Tubogas. C’est une méthode ingénieuse et intemporelle qui consiste à enrouler de fines bandes de métal avec une précision extraordinaire, sans aucun soudage, pour créer une forme lisse, souple et fluide. Je suis également fascinée par la collection Monete, car chaque pièce donne l’impression de tenir un fragment d’histoire ancienne, romaine, grecque ou même perse, réinventé sous la forme d’un bijou contemporain.»

Cléopâtre portait célèbrement Bvlgari et adorait la marque. Vous avez également incarné une reine dans Queen Berenice. Voyez-vous des parallèles ou des sources d’inspiration entre ces expériences?

 «Absolument. Lorsque j’ai commencé à me préparer pour le rôle de la reine Bérénice, je me suis plongée dans des recherches et, naturellement, j’ai revisité l’interprétation emblématique de Cléopâtre par Elizabeth Taylor. Bien que les contextes historiques diffèrent, j’ai perçu de fortes similitudes entre ces deux femmes, toutes deux faisant preuve de courage, d’intelligence et de puissance dans des univers dominés par les hommes. Pour incarner une reine, il faut comprendre non seulement son histoire, mais aussi les symboles de pouvoir et d’identité qu’elle portait, y compris les bijoux qu’elle choisissait de porter. La performance d’Elizabeth Taylor m’a certainement inspirée dans mon interprétation de Bérénice. Mme Taylor était connue pour porter des bijoux Bvlgari, et je ne savais pas à l’époque que j’aurais un jour l’honneur de collaborer moi-même avec la Maison. »

Séjournez-vous souvent au Park Hyatt Zurich, et qu’appréciez-vous le plus lors de vos séjours?
«Oui, j’ai eu le plaisir de séjourner plusieurs fois au Park Hyatt Zurich, et chacune de mes visites a été exceptionnelle. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est l’attention portée aux moindres détails et la sensation de confort naturel qu’ils créent. J’ai également eu le plaisir d’être le visage de la campagne Andaz, et savoir que Bvlgari collabore avec Hyatt rend mon lien avec cet hôtel encore plus significatif.»
Pourriez-vous nous parler de vos récents rôles, y compris celui aux côtés de Liam Neeson? Qu’est-ce qui vous a le plus marqué dans cette expérience? 
«L’un de mes rôles les plus récents est dans Hotel Tehran, où j’incarne une militante iranienne pour les droits des femmes, ayant grandi à l’étranger et décidant de retourner en Iran pour lutter contre un régime oppressif. J’ai également eu le plaisir de travailler sur Atlas King, un thriller UFC avec le vainqueur d’un Oscar Cuba Gooding Jr. et le champion du monde UFC Michael Bisping. Enfin, j’ai été choisie pour le film germano-iranien Neda, réalisé par Ashkan Najafi et tourné à Hambourg. Mon personnage ne parle que l’allemand, ce qui constitue une expérience inédite pour moi. Les trois projets sont prévus pour une sortie en 2026.»

Comment appréciez-vous la vie à New York, et la Suisse vous manque-t-elle parfois?
«Je vis à New York depuis treize ans. La vie ici est intense, pleine d’énergie et une source d’inspiration inépuisable. Bien sûr, ce n’est pas une ville facile, mais je n’ai jamais rencontré d’autre ville avec une telle énergie créative et autant d’amour. Cependant, pour moi, retourner en Suisse reste un privilège absolu. Le calme et la simplicité qu’offre ce pays sont introuvables ailleurs. J’apprécie également mon lien avec Bvlgari en Suisse, car c’est une manière précieuse de rester connectée à mes racines tout en poursuivant une carrière internationale.»

Où vous sentez-vous le plus vivante? Vos personnalités?

«En réalité, je pense que ce n’est pas tant un lieu physique qui me fait sentir vivante, mais plutôt un état d’esprit créatif. Lorsque je suis ouverte à l’inspiration, je me sens plus encline à créer, que ce soit par le chant, l’écriture ou le jeu. L’art m’a permis de m’exprimer à un niveau plus profond, non rationnel, m’aidant à assimiler et à guérir.»


bvlgari.com

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